@Tenshi: la preuve en ai que l'on peut te faire confiance pour ne pas vouloir des secrets que tu ne garderas pas. C'est un très beau geste que tu fais là pour les autres, et ils t'en remercierons un jours. Je suis tout a fait d'accord avec Serpeur.


Me parlez pas de famille... Je suis seule avec ma mère, je laisse échappé une toute petite info, et dans la soirée, tout le monde et au courant! même le chien des voisins (il squatte juste le jardin... il a rien a foutre dans la convers' d'ailleurs).
Le pire, c'est sans doute mes frères qui font des hypothèse et qui partagent ses hypothèses, fausses, évidement.... Du coup, je vous laisse imaginer la suite.

La confiance, c'est un mot que je connait pas. Ou très peu. Et même a mes amis les plus proches, je ne fait pas tout a fait confiance.

Je n'ai pas encore eu l'occasion de demander au destinataire si je pouvais mettre les poèmes que je lui ai fait en ligne... Mais il me semble qu'un autre se prépare. Il devrait être la dans les prochains jours, voire dans les prochaines heures.

Ombre ....On a la même mère O_o !!

En attendant on a toujours pas le poèmes !

Personnellement, j'ai jamais rien dit d'important à ma mère, donc je sais pas si elle ferais pareil que les vôtres

Moi mes parents fouille partout! Pour leur cacher un truc faut y aller. Et ça par vite dans la famille après...... Alors maintenant je geule dès qu'ils touchent à mes affaires et j'ai une chance d'en sortir vivant.

Pas besoin que ce soit quelque chose d'important... Juste une sortie avec des amis ou quoi et presque les grands-parents aussi le savent... Le jour où quelqu'un est content en permanence de sa famille, la Terre tourneras dans l'autre sens! Passons.

@ Tenshi: Pour les poèmes... J'en ai un qui tournent dans ma tête, mais il est pas encore fini. Pas encore tout a fait formé. Et j'ai toujours pas demandé à l'intéressé... Il faut que j'y pense!! D'ailleurs, je vais envoyer un message pas plus tard que tout de suite.

Ouai pareil Ombre....

Voilà!! J'ai déjà ma réponse. Si c'est pas beau ça alors! Donc donc donc... La patience est toujours récompensé.

Voici. Pour un autre ami, cet fois-ci.

Citation :

Pardonne-moi

Coulent mes mots sans que je le veuille.
Pleuvent les coups qui me feront porter le deuil.
Coulent tes larmes à l’unisson des miennes telle la pluie.
Fond comme la neige, ma haine dans mon corps meurtri

Le temps passe et nous séparent.
Juste quelques heures laissées pour réfléchir.
Le temps passe et quand tu pars,
Je commence à souffrir.

Mais le temps passeras
Et tu me reviendras.
Et le temps viendras
Où l’on se parleras;
[De ces mots, de ces envies, de ces silences, de cette haine,
De ces larmes, de ces cris, de ces gestes, de cette peine;
De tout cela
Qui fait que nous sommes comme ça.]

J’exprime ici mes espoirs.
Celui de te revoir.
Celui de te comprendre.
Mais par dessus ça,
Celui de me faire pardonner
De t’avoir fait pleurer.

La partie entre crochets, c'est une partie que j'ai rajoutée après coup. J'ai hésité a la laisser, mais en fait... elle va rester. Elle est bien là.


Le second à présent. Celui là, est écrit dans un contexte plus difficile. L'évocation de la mort et quelque petites autres chose font références à d'autres évènements. Et oui, encore! J'y peux rien, c'est souvent (pour ne pas dire tout le temps) comme ça.

Citation :

Pour moi

Porte ma voix dans la tienne,
La haine m’étouffe.
Porte ma voix dans la tienne,
Le sang souille ma bouche.
Porte ma voix dans la tienne,
Plus jamais je ne pourrais chanter.

Ris car ton visage est fait pour ça,
Je pleurerais pour deux.
Chante la joie car ta voix est faite pour ça,
Je crierais la haine pour deux.
Vis car tu es fait pour ça,
Je souffrirais pour deux.

Demain, ma mort s’annonce.
N’en soit pas triste.
Fais ce que jamais je n’ai pu faire.
Vis la vie que je n’ai pas fini.
Vis en ma mémoire.
Profite du temps que je te laisse, que je t’offre.
De ce temps qui fut trop court pour moi.

Et vilà pour ce soir...

Ils sont très beau.......

Beau est trop faible... Comment tu réussi à faire sa?
T'as apparemment une vie bien tourmentée...

Je sais que beau est trop faible. De toute façon elle sait déja ce que je pense de ces poèmes.....

... Tu fais des trucs tellement beaux que je ne peux pas les critiquer, MOI !!!


Tu réalises que tu me fais traverser une crise identitaire, là ???

Et oh! Je ne les critique pas! Ou alors tu as un sens de la critique sur-développé! Pire qu'un prof de Français!

Nan, mais, j'ai pas dit que tu les critiquais. J'ai dit que je ne me sentais pas moi-même parce que je critique tout le temps et que là, je ne peux pas.

Ba tout le monde a le droit d'être malade......

Enlève juste le message avant que Ombre arrive sinon elle va t'embrasser.

J'en serais assez étonné. Pour ça, faudrait peut-être qu'elle me connaisse

Pas bête........ En faite tu est peut-être bien intelligent!

Nan, c'est une impression que t'as à cause du contraste avec toi

Effectivement. Tu as raison. (Non je ne déteste pas )

En fait, c'est pas que ma vie et super tourmentée. C'est juste que je suis un peu.... hyper-sensible (ceci est un euphémisme).

Une manière de pimenter un peu le quotidien de faire d'un tout petit truc quelque chose d'énorme. Non, je fais ça que parce que se sont des sujet et des gens qui me tiennes à coeur. Mais je suis quand même hyper-sensible.

Sinon.... Je suis bien contente que pour une fois!! Saya n'est rien a y redire. Même pas sur l'orthographe. Vu que j'ai une sainte horreur de toucher les gens que je ne connais pas, je l'aurais certainement pas embrassé Ere. Ou alors au sens strict du terme.

@Saya: C'est bon pour la santé et le moral les crises identitaires. Quand tu en ressors (SI tu en ressors) tu verras que tu te sens vachement mieux. C'est qu'une mauvaise passe. Et puis tout le monde en a besoin. Peut-être que l'on te trouveras plus modeste à l'avenir (c'est beau de rêver, mais c'est la nuit dans son lit que ça se fait)... Pidou pidou.

J'ai déjà traversé un petit paquet de crises identitaires, et je n'en suis pas ressorti moins arrogant

Et zut. Ça coute rien d'essayer, on peux toujours ce dire ça pour se consoler. JE me faisait pas trop d'illusion quand même.

Un nouveau poème, retrouver parmi les pages d'un bloc-note poussiéreux perdu sur mon bureau sous des piles de papier et de feuilles plus ou moins utile. Souvenir d'une douce nuit dans la forêt. Souvenir aussi d'un presque trahison...

Souvenir d'une Hésitation

Une hésitation
En réponse à la provocation.
L’esquisse d’un geste
Le soupir de ce qui reste.

Un regard qui attend,
Un regard qui se perd ;
Une hésitation,
L’attente d’un temps.

Le souffle d’approche ;
Un souffle d’attente.
Une hésitation ;
Le souffle de la réflexion.

Un regard se détourne,
Brisant de fait l’infime lien.
Un geste de refus
Tuant l’espérance.

L’un dans la souffrance,
L’autre dans le doute.
La culpabilité, la déception ;
Et aux deux, la résignation.

Le silence ;
La douleur ;
Le refuge du sommeil
Sous le couvert de la Nuit.

Un Masque aux émotions,
Brisées et oubliées.



Pour le titre, ça n'a absolument rien à voir avec le livre alors par pitié, je ne veux aucune remarque la dessus. Quand à qui se poème est dédié.... Je ne sais pas trop. A moi, à quelqu'un, à cette nuit là, à ce souvenir... Je ne sais pas.

Tu ne sais pas, mais en tout cas c'est vraiment très beau!
Ou est-ce que tu trouve toute ton inspiration?!

Respect et admiration. (NON, c'est pas deux nouveaux tomes de twilettes )

Deux maîtres-mots.

Personnellement, il n'y a qu'une personne qui ai mon admiration, et je ne considère pas le respect comme un présent mais comme un du aux autres.