ça à toujours été facile pour moi d'avoir des bonnes notes en rédaction.
Ecrire un livre c'est pas pareil...
S'cusez les fautes d'aurtauggraffe.
J'essaye dans mettre moins que dans le mot "orthographe"

(avant, j'avais mis plus de ce texte, mais je raccourci pour la deuxième fois(pour les droits d'auteurs) cette fois-ci, j'en mets vraiment très, peu désolé)



Les taillis se déchirèrent, laissant place à un karazat, un monstre haut de trois mètres et large de deux... capable de tuer trois soldat en moins de cinq seconde..
Le combat resta comme suspendu... puis dans un ensemble presque parfait, les Guerriers de nuit passèrent à l'attaque , le combat reprit beaucoup plus violent et brutal. En quelque minutes les guerriers se virent décimés. Seize excellents guerrier face à un monstre. Il ne restait que neuf de ces redoutables combattants venu me chercher. Soudain le karazat pivota et planta son regard rouge dans mes yeux.
Une force animale s'empara de moi, je tirais mon poignard et me jetais sauvagement sur le monstre. Aucun de ses coups ne m'atteignis mais j'étais handicapée par mon bras gauche qui me lançait au moindre de mes mouvements et aucun des coups que je lui portait ne lui causa de dommage. Son poing titanesque me percuta le flanc droit et m'envoya au sol, il leva son bras pour porter le coup de grâce quand...

Captivant!Je n'ai pas pu m'en détacher jusqu'à avoir fini. J'aimerais vraiment l'avoir en entier, même si je suppose que c'est impossible...

Il y a juste quelque petite chose qui mon gêné, mais tu les corrigeras vite. Tu as mis "traillissaient" au lieu de "trahissaient" ; "d'on" à la place de "dont" ; "habbituer", mais c'est sans doute une faute de frappe ; et une autre que je ne trouve plus... Je n'aurais pas placer la ponctuation comme ça et ça m'a dérangé à certains endroits pour saisir comment lire la phrase, mais rien de très grave.

En tout cas, bravo et continues comme ça!

Merci, et pour le moment, c'est presque tout ce que j'ai écris.
Je me suiis lancé il y a moins de 1 mois.
Et puis, un truc nommé "collège" me prend aussi pas mal de temps

Moi j'ai commencé quelque chose y a quelques jours, et là heureusement qu'il y a les vacances =D

J'a☼re les vacances
Surtout pour continuer à écrire
♫♪☼

Je viens de lire ton essai, et j'ai aimé =D Tu as ta façon d'écrire, bien que quelques fautes d'orthographe et de ponctuation. Mais tout le monde en fait.

Pour les fautes d'ortographes, je promais rien.
Pas encore fais de correction, j'ai tout laissé "brut".

Ça se voit! (rien de méchant)

C'est sur que le lycée (ou collège, pour toi) c'est pas ce qu'il y a de mieux pour avoir le temps d'écrire... Du style "bon j'écris un peu!... Aaah non, j'peux pas. Deux contrôles à réviser pour demain... --' "

Mais ça encore, ça passe encore. Le plus lourd, c'est quand un texte stupide de "Roméo (moi) et Juliette" en plus d'un boulet de frère débarque à la maison pour vous pourrir vos vacances et vous empêcher d'écrire!

Revenons en à nos moutons... Ton texte est bien mené ; l'orthographe, c'est l'affaire de correcteurs (surtout, ne les laisse pas toucher à la syntaxe, sauf quand les phrases sont incompréhensible).
Un conseil? N'écris pas en cour... si tu te fait prendre, tu peux dire adieux à tout ce que tu viens de faire. Et je te jure que t'as les crocs quand tu perds tout un chapitre et que tu dois le recommencer...

T'inquiète.
En cour j'écris pas
Même pas en cour de français, et pourtant je peu vous dire que je m'ennuie

Moi je peux corrigé les fautes d'orthographe =D Comme je l'ai déjà fait pour OmbreBlanche, bien sûr j'ai un niveau seconde, donc je ne vois pas toutes les fautes, mais les plus flagrantes, je ne change pas la syntaxe, à part si ça me gène vraiment et si l'auteur et d'accord. OmbreBlanche, je lui ai donné quelques conseils, elle ne les a pas tous pris en compte, mais ce ne sont que des conseils, donc pas impératifs...

Pour le moment, je cherche pas particulièrement de correcteur.
Mais j'y penserai^^

Penses-y quand tu auras fini d'écrire!

Un bon texte. une écriture à la fois personelle mais non moins interessante. donc bonne continuation .

Arrêtez de me rendre jaloux... je n'ai jamais su écrire, j'ai essayé des dizaines de fois, j'avais des idées dont je pensais qu'elles feraient de belles histoires, et non, tout ça n'a pu déboucher que sur trois pages plus que médiocres

Par contre, si quelqu'un cherche un correcteur, je suis votre homme ! Le tueur des fautes d'orthographe est là ! Pas une ne passera !

.

@olyna : Tu pourrais ouvrir un nouveau topic pour mettre ton texte s'il te plait ? Un seul topic par personne Merci

voilà c'est fait, navrée pour l'erreur
je suis une nouvelle arrivée donc le temps d'adaptation est toujours le plus long^^
merci pour l'info.

Je mets le premier chapitre complet...
Entre temps, j'ai trouvé comment débloqué le correcteur d'orthographe de mon ordi
(mais bon, je promet rien...), j'ai redémarré mon livre à zéro en considérant la première version comme un brouillon.

1
Qu’est-ce qui pourrait arrêter dix-huit Guerriers de Nuits lancés au galop ?
Sûrement pas un poignard et trois flèches.
Indifférents à la forêt qui les entoure, mes poursuivants se rapprochent si vite…
Obligée de contourner les rochers que leurs chevaux franchissent d’un bond, je perds du terrain.
J’implore je ne sais trop quoi, je supplie intérieurement pour que les arbres cessent de s’espacer,
pour que je me retrouve au cœur et non à la lisière de la forêt des Milles.
Je me retourne brusquement et fais face aux puissants soldats.
Dans un tourbillon de poussière, ils s’arrêtent.
Je fais un pas en arrière.
Un Guerrier de Nuit saisit son poignard…
Un éclair déchire le ciel tandis que la pluie trace des sillons dans la crasse qui recouvre mes joues,
se mêlant à mes larmes.
Un Guerrier de Nuit ramène son bras en arrière, prépare son lancer…
J’adresse un adieu silencieux à… à qui ? A tous ceux –et celles - que j’ai perdus et m’apprête à rejoindre ?
Je n’attends pas d’entendre la lame siffler dans l’air, de la sentir se ficher dans mon cœur pour faire mon dernier pas.
Combattre ou tomber.
Un regard en arrière vers le torrent qui m’attend une centaine de mètre plus bas.
Le couteau se fiche dans mon bras avec un bruit mat.
Mon pied ne rencontre plus que du vide.



Je n’ai pas la sensation de tomber.
Je ne sens pas le danger de ma chute.
Des sons que je n’ai jamais entendus sortent de mes lèvres entrouvertes.

Non, c’est plutôt une… une voix qui me dicte ces paroles. Une ou des voix, je n’en sais rien.
J’ai l’étrange impression que le Vent me recueille dans son souffle, ralentit ma chute, retarde
la mort ; mais ne peut l’arrêter, la chasser.
Je replonge dans la spirale de mes Souvenirs qui commence quelques années après le début
de ma vie. Tout me revient depuis cette nuit où ma vie a changé…
La pluie rendait le sol glissant et la nuit mon chemin invisible.
Une peur de fin du monde courait dans mes veines ; celle de ce voile qui estompait mon
histoire, mon passé, cette brume qui rendait flous les détails de ma vie. Il n’y avait qu’une
chose que rien ne pouvait effacer de ma mémoire : mes parents. Je crois que, à ce moment là,
j‘aurais préféré oublier. Oublier que la flèche qui avait sifflé à mes oreilles et transpercé
l’homme qui courait devant moi avait tué mon père. Oublier que la femme qui s’était arrêtée
à son côté était ma mère. Oublier que j’avais aimé les deux voix qui, à l’unisson me criaient de courir.
Oublier que c’était probablement la dernière fois que je les entendais.
Je n’arrivais plus à détacher mon regard de cet homme qui souriait d’un air carnassier devant
le cadavre de mon père et les pleurs de ma mère. C’était, après avoir jeté un dernier regard à
leurs visages qui me suppliaient de fuir que j’avais finalement tourné les talons.
J’avais à peine entendu les sonorités étranges que ma mère murmurait. Ce n’est que bien
plus tard que j’ai compris leur sens : « Tu es la dernière à pouvoir nous sauver, fuis Ombre des étoiles et sauve les Mondes ! »
Je fuyais donc. Je n’avais pas une chance de m’en sortir libre et vivante s’il me rattrapait.
Ils allaient me rattraper.
La forêt des Milles résonnait du martellement des sabots sur le sol détrempé.
Un différait des autres, il était si proche…
J’ai perdu connaissance quand j’ai vu surgir d’entre les arbres non un Guerrier de Nuit
mais un homme entre deux âges aux cheveux bruns parsemés de mèches grises et aux yeux
noisette étrangement apaisant.
J’étais sauvée. Pour l’instant.

Quand je me suis éveillée, je n’étais pas installée au chaud et au sec dans une maison rassurante .
J’étais trempée par la pluie qui n’en finissait plus et bringuebalée à chaque pas du cheval
J’ai entraperçu cet homme qui m’avait sauvée, il menait sa monture d’une main et
de l’autre, il m’empêchait de tomber au sol.
J’ai tenté d’ouvrir la bouche, mais je n’ai pu que vomir mon dernier et lointain repas
en compagnie de mes parents. Je ne pleurais pas, j’avais les paupières serrées et le cœur brisé.
Une première flèche a sifflé.
Mes yeux ont commencés à me piquer.
Des dizaines d’autres nous entouraient et se plantaient dans les arbres dont les branches basses me fouettaient le visage.
Une tristesse dévastatrice a commencée à m’envahir.
Des cris de guerre ont retenti. J’ai entraperçu une dizaine de Guerriers de Nuit, la moitié tiraient
déjà leurs longues épées de leurs fourreaux couleur de Nuit.
J’avais mal, très mal. Trop de douleur qui tourbillonnait dans mon cœur.
Une flèche s’est plantée avec un bruit mat dans le bras qui m’empêchait de tomber
Il n’y avait plus d’issue, j’étais enfermée dans une prison de douleur
J’ai aperçu un de nos poursuivants plonger la pointe de sa flèche dans un étrange liquide bleu si foncé qu’il en paraissait noir.
Mes yeux étaient humides, mais aucune larme de coulaient sur mes joues.
Simultanément, deux flèches nous ont atteints, la première a tracée une ligne de feu sur mon
bras qui s’est mis à me brûler et la deuxième a touché notre monture à la jambe.
J’ai échappé au bras qui me tenait au moment où je roulais au sol.
J’étais incapable de me relever, je n’étais plus qu’une petite file de cinq ou six ans qui avait perdu
ses parents, plus une fillette exceptionnelle au destin décisif pour sa race et son univers.
Le feu se répandait de mon bras à tout le reste de mon corps. Du poison !
J’ai été soulevée de terre par cet humain inconnu qui m’avait sauvé la vie.
La panique se lisait sur son visage tandis qu’il détalait en courant.
Plus que vingt mètres entre eux et nous.
Dix-huit
Seize…
Quinze…
Un arbre abattu qui nous barre le passage...
Quatorze…
Est-ce qu’un arbre peut faire plus de cent mètres de haut et presque trois de large ?
Treize…
Quelque pas pour le contourner…
Douze…
Résignation. Je suis déposée à terre…
Onze…
Une épée tirée de son fourreau.
Une peur de refoulée.
Dix…
Je ferme les yeux…
Neuf…
Pas feutrés…
Huit…
Cris et bruits de combats...
Sept…
J’ouvris les yeux juste à temps pour voir une étrange aura verte disparaître entre les arbres.
L’Homme n’a pas utilisé son épée.
Nos poursuivants ont disparu.
Il ne reste que des cadavres, moi et mon sauveur.
Mon présent était de nouveau hors de danger. Pour combien de temps ?

Combien de cauchemars basés sur cette nuit ?
Combien de cris silencieux en découvrant chaque matin que c’était la réalité ?
Beaucoup trop pour moi…
Je ne me rendais presque plus compte que je vivais, comme si il y avait un voile
avec d’un côté ma vie -enfin, ce qu’il en restait- et de l’autre tout mon désespoir.
J’avais basculé si facilement de ce côté sombre et obscur. Revenir vers ma vie
paraissait aussi simple que de traverser un mur de pierre.
Il y avait toujours cet homme qui m’apportait à manger, qui pansait mes blessures
sans s’attarder sur mes différences, sans poser de questions.
Malgré la souffrance que me provoquaient ces mauvais rêves, j’attendais avec
impatience que la journée se termine pour pouvoir les retrouver dans mon sommeil
agité, m’accrochant avec l’énergie du désespoir à ce dernier souvenir de mes parents.
Pourtant, un beau matin, ils ont disparus.
Simplement disparus.
Ensuite sont arrivés les Cauchemars.
Des hommes, des femmes, des enfants… massacrés, torturés, enlevés…
Tous comme moi, avec leurs pupilles bleues et leurs yeux parsemés d’or.
Ce sourire que je haïssais de toutes mes forces…
Toujours plus de douleurs.
Et plus aucune trace de mes parents.
C’est ici que j’ai commencé à sombrer.

Chaque matin le soulagement d’avoir survécu à ses Cauchemars
Et chaque matin la vague d’angoisse, toujours plus forte, toujours plus longue, toujours plus profonde…
Je tenais en équilibre au bord d’un gouffre de folie d’où me parvenaient des cris de douleurs.
Et puis des questions, des questions sans réponses…
Tout cela mêlé.
J’avais six ans, j’avais perdu mes parents, j’étais surement folle… mais je luttais.
Je luttais pour ne pas tomber, cherchant désespérément une prise, un espoir auquel me raccrocher.
Mais il n’y avait plus rien ; lentement la certitude de ne plus avoir le choix a pris toute la place.
Tomber, je devais tomber dans ce gouffre
Et je suis tombée…

Franchement, c'est très très bien!
Tu as un style, une écriture très agréable, ton texte ne s'encombre pas de description et garde un très bon rythme, du suspens et promet de nous réserver de nombreuses surprises.
J'aime vraiment.
A part quelque répétitions, il n'y a pas vraiment de défaut au texte, sauf celui-ci:
Pourquoi revient tu à la ligne en pleine phrase? J'ai trouvé cela très étonnant...

très bon début j'aime beaucoup le rythme .

pour la mise en page, je sais pas trop ce qui s'est passée
Je vais essayer de rectifier ce bug